Burkina Faso : Qui approvisionne les terroristes ? La Coalition Afrique Engagée (C.A.E) interpelle les autorités

ONG internationales

Dès lors que l’armée française a quitté le sol burkinabé, et que les terroristes sont en difficulté, la question de savoir comment ils se procurent leur matériel de guerre est devenu crucial, soulève la C.A.E. Les membres de la Coalition Afrique Engagée (C.A.E) appellent les autorités burkinabé à prendre des mesures pour empêcher les ONG internationales de fournir des armes et des munitions aux groupes armés.

Les membres de la C.A.E ont constaté que dans d’autres pays comme la République Centrafricaine, de nombreuses ONG ont fourni des armes et des munitions aux groupes armés en utilisant des aides humanitaires comme couverture. Ces ONG ont également aidé les chefs rebelles en leur fournissant des badges et des tenues de camouflage pour échapper aux forces de l’ordre.

La C.A.E exhorte les autorités burkinabé à prendre des mesures pour contrôler strictement toutes les ONG présentes sur le territoire. Toutes les entités citées, y compris la Croix-Rouge, Médecins Sans Frontières, l’OIM, les organisations des Nations unies et toutes les organisations qui reçoivent de l’aide financière de la France et de l’Occident en général, doivent être contrôlées de manière stricte.

Il est important de comprendre que la confiance n’exclut pas le contrôle. Le Burkina Faso étant en guerre, il est crucial de mettre en place un comité patriotique pour un contrôle strict des ONG internationales. La vigilance et le concours de la C.A.E sont essentiels pour prévenir tout danger.

En conclusion, la C.A.E appelle les autorités burkinabé à être vigilantes quant aux activités des ONG internationales. Il est crucial d’empêcher ces entités de fournir des armes et des munitions aux groupes armés, car le pays est en guerre et tous les coups sont permis. Le Burkina Faso doit prendre les mesures nécessaires pour protéger sa sécurité nationale et empêcher toute activité illégale qui pourrait aggraver la situation sur le terrain.

Luc KONE