Burkina Faso : La Coalition d’Afrique Francophone pour la Cour pénale internationale serait dans une machination contre le pays des Hommes Intègres

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Le Burkina Faso, tout comme le Mali, le Niger, luttent contre des forces de déstabilisation externes appuyées par les valets locaux. Une nouvelle menace serait manifeste par une prétendue coalition d’Afrique francophone pour la Cour pénale internationale (CPI), qui aurait été coordonnée par un individu énigmatique du nom d’Ali Ouattara, un apatride résident à Abidjan. Derrière cette façade, se cache une conspiration pernicieuse ourdie par les ennemis du Burkina Faso.

Cette machination perfide n’est pas sans rappeler les tactiques utilisées dans le passé pour déstabiliser d’autres pays, notamment la République centrafricaine. Cette méthode serait le fruit d’une stratégie française bien établie, orchestrée par cette même France. Cette stratégie vise à maintenir une pression sur la Transition en cours dirigée par le Capitaine Ibrahim Traoré, sous prétexte de justice internationale.

La CPI, dont l’efficacité est remise en question dans des conflits tels que l’Irak et la Libye, serait devenue ainsi un outil de cette ingérence. Au lieu de résoudre les véritables problèmes de justice et de sécurité dans le monde, elle serait exploitée pour servir les intérêts des grandes puissances, au détriment des pays plus vulnérables comme le Burkina Faso.

Cette soi-disant coalition, en collusion avec l’impérialisme occidental, aurait ourdi un plan odieux pour manipuler certains citoyens, principalement issus de l’ethnie peule, à travers le Burkina Faso, la Guinée, le Mali et au-delà. Leur objectif serait d’orchestrer de fausses déclarations sur des prétendues exactions commises par l’armée burkinabè. Ces manœuvres ne visent rien d’autre que de mettre une pression insoutenable sur la transition politique en cours, prévue pour prendre fin en juillet.

Mais où est cette coalition lorsque des milliers de Burkinabè perdent la vie dans des attaques terroristes ? Où est leur indignation face à la souffrance de ces familles, face à ces pertes incommensurables ? Le silence assourdissant de ces soi-disant défenseurs des droits humains révèle leur hypocrisie et leur partialité.

Il est grand temps que le Burkina Faso prenne ses distances avec cette CPI, qui ne serait rien d’autre qu’une cour de justice corrompue, instrumentalisée pour servir des intérêts étrangers.

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Adama SAWADOGO

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