Togo / La diplomatie active du Président Faure Gnassingbé : un exemple de leadership dans la crise sahélienne
La levée des sanctions économiques par la CEDEAO à l’égard du Niger lors du sommet à Abuja constitue un tournant majeur dans la résolution de la crise qui oppose l’Organisation ouest-africaine au Mali, au Burkina Faso et au Niger. Cette avancée diplomatique majeure témoigne de l’influence positive et du leadership du Président Faure Gnassingbé dans la région.
Les mesures levées par la CEDEAO comprennent un éventail de restrictions économiques, telles que le blocage des transactions financières et bancaires, le blocus énergétique et la suspension des vols commerciaux au départ et à l’arrivée du Niger. De plus, les dirigeants des quatre pays précédemment suspendus ont été officiellement invités aux prochaines sessions de la Conférence des chefs d’État et de gouvernement de la CEDEAO.
Il est essentiel de reconnaître que ces sanctions se sont avérées inefficaces dans leur objectif initial. Au contraire, elles ont terni l’image de la CEDEAO et risquaient de provoquer une dislocation au sein de l’organisation.
Le Président Faure Gnassingbé a joué un rôle déterminant dans la promotion de cette levée des sanctions depuis plusieurs mois. En militant en faveur de mesures plus constructives et en plaidant pour l’intégration des pays sahéliens, le Togo a montré un engagement ferme envers la résolution pacifique des conflits dans la région.
En favorisant le dialogue et en recherchant des solutions inclusives, le Président Faure Gnassingbé a démontré sa capacité à exercer un leadership diplomatique efficace au sein de la CEDEAO et au-delà.
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AYI Aka
